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Veille de presse – n°54

Irlande: un enseignant emprisonné après avoir défié l’interdiction liée à son refus de reconnaître le nouveau genre d’un élève

Enoch Burke a été incarcéré pour la troisième fois après s’être de nouveau rendu à la Wilson’s Hospital School, malgré une interdiction prononcée par un juge. L’établissement l’avait exclu après son refus de reconnaître le changement de genre d’un élève trans.

Décryptage : Nous sommes solidaires de ce professeur irlandais qui a le courage de ne pas tomber dans l’idéologie qui fait prendre des vessies pour des lanternes… ou plutôt une prostate pour un utérus !

Lire l’article sur le site du Figaro


La PMA post-mortem, bientôt légalisée en France ?

Interdite en France, la PMA post-mortem est autorisée dans plusieurs pays européens. Le débat a été réouvert dans l’Hexagone en août 2021 avec la révision de la loi de bioéthique.

« La PMA solo, c’est-à-dire faire naître délibérément un enfant qui n’aura pas de seconde personne pour s’occuper de lui en plus de sa mère, ça se rapproche de ce qui pourrait se passer en post-mortem », estime Catherine Guillemain, chef de service biologie de la reproduction. Les arguments contre la PMA post-mortem s’affaiblissent de plus en plus : il est en effet aujourd’hui possible d’avoir un enfant avec le sperme d’un inconnu – un donneur – mais pas avec celui de son conjoint s’il décède au cours d’un parcours PMA. La veuve peut, en revanche, se voir proposer de faire don des embryons congelés avec son mari à une femme seule ou à un autre couple.

Décryptage : L’on comprend que légaliser cet acte – encore considéré par nombre de personnes comme immoral – engendrera de nombreuses incohérences et fera totalement perdre le sens de la réalité à ceux qui la pratiqueront.

Lire l’article sur le site de Elle


Naissance par GPA : les droits aux prestations de Sécurité sociale précisés par l’Assurance maladie

A travers une circulaire du 11 juillet 2024, l’Assurance maladie est revenue sur les prestations de Sécurité sociale accessibles, ou non, aux assurés accueillant un enfant né d’une GPA réalisée à l’étranger.

Décryptage : La sécurité sociale rend justice à la maternité en prenant acte de l’interdiction de la GPA : elle refuse d’octroyer un congé de maternité à des hommes qui y prétendent parce qu’ils ont obtenu un enfant par GPA d’une femme qu’ils ont exploitée. Enfin du bon sens !

Lire l’article sur le site des Editions Tissot

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