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Veille de presse – n°37

Ciivise : un « collège directeur » annoncé pour reprendre la tête de la commission inceste

Après « deux mois compliqués » pour la Ciivise, un nouveau « collège directeur » va diriger l’instance chargée de lutter contre l’inceste et les violences sexuelles faîtes aux enfants, a annoncé la ministre déléguée chargée de l’Enfance, de la Jeunesse et des Familles, Sarah El Haïry, ce mercredi 3 avril.

Parmi les priorités énoncées, Sarah El Haïry souhaite que les professionnels soient mieux formés à « l’accueil de (la) parole », pour que « la protection des enfants soit effective en tout lieu ». La membre du gouvernement tient également à approfondir « la question des enfants en situation de handicap » et « des auteurs mineurs ».

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Projet de loi fin de vie : la mort comme solution

Alors que le texte sur la fin de vie arrive en conseil des ministres, des voix s’élèvent contre les risques de dérives eugénistes que représente « l’aide active à mourir ». Lorsqu’on est vulnérable, comment tenir bon si la société nous renvoie à cette image d’être devenu inutiles et coûteux ? dénonce l’essayiste Blanche Streb.

« Comment s’assurer que des personnes malades, handicapées et marginalisées, lasses de se battre contre une société qui ne fait rien pour les soutenir, ne seront pas orientées vers ce dispositif qui leur présente la mort comme “solution” ? », alerte l’avocate et militante féministe Elisa Rojas, elle-même porteuse de handicap, dans un entretien accordé cette semaine à Politis.

« En tant que personnes handicapées, nous savons que notre mort est toujours considérée comme “libératrice” par cette société qui nous considère comme des fardeaux. Les risques de dérives eugénistes que représente l’aide active à mourir ne sont pas hypothétiques ». 

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Sport, éducation, santé, université : enquête sur cette « transmania » qui a conquis les sociétés occidentales

Dans Transmania, une enquête percutante et documentée, Dora Moutot et Marguerite Stern, deux féministes engagées, montrent comment l’idéologie transgenre a pénétré en profondeur la société.

Nous nous sommes retrouvées face à des meutes sous hypnose collective qui répétaient en boucle des mantras comme « les femmes trans sont des femmes », et avec qui il était impossible de converser normalement. La transmania, cette espèce de frénésie trans, nous a frappées de plein fouet. (…) Depuis quatre ans, nous recevons insultes et menaces quotidiennement.

Parmi les tweets censurés : « Les femmes sont des femelles Homo sapiens et les hommes sont des mâles Homo sapiens ». 

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