Soins palliatifs et euthanasie : pourquoi les deux modèles ne peuvent pas cohabiter
Le progrès est bon à condition qu’il soit bien orienté. Mais abréger la fin de vie pour soulager, est-ce un progrès ?, interroge Elisabeth de Courrèges. Le risque, c’est qu’en faisant de l’euthanasie une possibilité, on empêche le déploiement de la créativité, de l’audace et de la technicité nécessaires pour améliorer les soins palliatifs.
C’est grâce à la recherche que les services de soins palliatifs français ont appris à s’appuyer sur des professions paramédicales variées, en laissant une place considérable à l’entourage, à la musique, à l’art, à la spiritualité, en affinant les protocoles de soins ou d’arrêts de soins. Ce progrès n’est rendu possible que parce que demeure cet interdit fondamental de tuer.
Traite des êtres humains : l’UE intègre « la GPA à de fins d’exploitation » à la liste des crimes
Les Etats membres devront ériger en infraction pénale le fait d’utiliser volontairement « les services d’une victime d’une infraction liée à la traite ». Des sanctions « efficaces, proportionnées et dissuasives » devront être mises en place.
Indemnisation, durée… : les premiers contours du nouveau congé de naissance prévu pour 2025
Sa durée de 6 mois prendra en compte la période du congé maternité (10 semaines pour un premier ou deuxième enfant) et paternité (28 jours) après la naissance. Le congé de naissance n’excéderait donc pas trois mois et demi pour les mères après un premier ou deuxième accouchement. Le temps supplémentaire passé par les parents avec leur jeune enfant serait donc modeste.
Réduire l’écart entre le désir d’enfant exprimé par les Français et le taux de natalité
Il s’agit de « mettre fin à un système qui dysfonctionne, rémunéré presque en dessous du RSA et qui éloigne les femmes du marché du travail », indique l’entourage du président.