Publié le 5 mars, le projet de programme décline l’éducation à la sexualité de la maternelle à la terminale. Le Syndicat de la Famille (ex-Manif pour tous) salue des progrès, mais parle d’ «ambiguité».
Les représentants des différents cultes, les associations -du Planning familial à SOS Education-, le Grand Orient de France, l’Académie de Médecine, les syndicats, la protection de l’enfance et des juristes ont été entendus. « Le projet de programme qui vient d’être publié est équilibré et normalement acceptable par tous, à condition d’être de bonne foi », résume Mark Sherringham.
De son côté, Ludovine de La Rochère se dit « choquée de voir qu’il est question des « stéréotypes de genre », des « assignations de rôles » et des « différents types de familles » dès la moyenne section de maternelle. C’est faire entrer les enfants dans des sujets politiques et sociétaux très clivants »…