Quand des associations idéologues et militantes attaquent l’État en justice pour défaut d’éducation sexuelle, on se dit que l’école risque fort de continuer à couler, entraînant avec elle nos enfants et la société tout entière.
Le Planning familial, SOS Homophobie et Sidaction ont annoncé le 2 mars avoir attaqué l’État en justice pour défaut de mise en œuvre de la loi qui prévoit trois séances annuelles d’éducation sexuelle à l’école, en collège et en lycée.
On frémit à la lecture de cette information, consternante au regard de la teneur actuelle des séances d’éducation sexuelle faites dans de nombreux établissements scolaires et, plus généralement, de l’hypersexualisation et de l’idéologie woke dans lesquelles nos enfants évoluent dès le plus jeune âge, sans qu’aucun ministre ne s’inquiète de respecter leur maturité, leur intimité et leur conscience ; ni d’ailleurs de s’attaquer véritablement au redressement du niveau scolaire français.
On se souvient de la campagne suivant laquelle “au Planning familial, on sait qu’un homme peut être enceint” […]