Composition du Gouvernement : mise au point du Syndicat de la Famille
En condamnant toutes les personnalités politiques ayant affiché par le passé la moindre réserve sur les questions sociétales, les militants et médias progressistes cherchent à museler la liberté d’expression et à faire peur. Ces méthodes scandaleuses basées sur l’intimidation doivent cesser !
On ne compte plus les personnalités politiques jugées par le tribunal de la morale progressiste. Celles qui sont en piste pour entrer au gouvernement n’y échappent pas. Elles sont passées au scanner des militants qui en tirent des conclusions aussi infondées que caricaturales.
A en croire certains militants ou journalistes libertaires, le mouvement social initié par La Manif Pour Tous tirerait toutes les ficelles et des ministres pourraient être ses marionnettes. C’est parfaitement ridicule et cela ne trompe personne. En réalité, les progressistes cherchent à décourager les personnalités politiques et publiques d’exprimer leurs opinions, a minima leurs réserves sur les questions sociétales autour de la procréation, la filiation, la famille, la fin de vie ou encore du changement de sexe. Il est temps de dénoncer ces pratiques d’intimidation.
« En jouant les vierges effarouchées, les militants progressistes oublient qu’ils ne sont pas majoritaires dans la société. Alors qu’ils vantent en boucle l’importance du débat public et de la représentativité des sensibilités, ils font l’inverse et n’ont de cesse de vouloir museler toute voix libre. Et force est de constater combien ces dernières sont nombreuses. Décriée par les progressistes radicaux, la famille est pourtant chère dans les cœurs des Français. Premier lieu de solidarité et refuge pour les plus vulnérables, elle est plébiscitée dans toutes les enquêtes d’opinion. N’en déplaise à certains grincheux idéologisés, la famille est le fondement de l’unité de la nation. Il serait pour le moins cocasse que le gouvernement ne reflète pas cette réalité à laquelle tant de Français sont attachés, loin des manœuvres inacceptables qui doivent cesser. La censure n’a pas sa place dans le débat public » résume Ludovine de La Rochère, Présidente du Syndicat de la Famille.
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