Par dévoiement des notions d’égalité et de liberté, les conditions ont été sans cesse élargies au fil des années.
Le suicide assisté et l’euthanasie, les revendications morbides de l’ADMD, sont désormais voulues par Emmanuel Macron et Catherine Vautrin, notamment pour de sinistres calculs politiciens.
Mais ces pratiques sont les symptômes d’une décivilisation : elles sont à l’opposé de la mission de soin des médecins, de la confiance patient-corps médical et de la solidarité à l’égard des plus vulnérables d’entre nous…. qui serons tous un jour cette personne vulnérable.
Contrairement à ce que certains croient ou prétendent, nul encadrement n’empêchera jamais l’élargissement des conditions. L’ADMD l’a publiquement déclaré à la suite de l’annonce d’Emmanuel Macron : « ce n’est qu’une première étape ».
Et même si un budget plus important est accordé aux soins palliatifs aujourd’hui, pour mieux faire passer l’idée de « l’aide à mourir », cela n’assure en rien un budget demain, bien au contraire : dans tous les pays qui ont légalisé le suicide assisté et/ou l’euthanasie, les soins palliatifs ont peu à peu perdu du terrain et les personnes en fin de vie peuvent de moins en moins en bénéficier.
Le projet de loi d’Emmanuel Macron et Catherine Vautrin ouvre une funeste boîte de Pandore.